SOUTH’S DUST
La poussière des 70’S.
Un vent c’est levé dans les années 70’. Un vent vent d’une violence et d’une force terrible. Cette tempête a fait germer en ce temps l’une des période les plus fertile de ses dernière décennies. Bouillonnant d’idées, de création et de vie. Un monde, un mood gorgée de libertés, d’espoirs et de changements. Un golden age. La tempête à aussi fait naitre les boomers. Et il sont encore là pour nous raconter cette période. Qui fut si intense, si folle, qu’encore aujourd’hui nous en subissons les influences. Bien sur, l’histoire et doré, poli, poncer, et nous regardons aujourd’hui cette période avec un oeil sélectif et non objectif. Simplement, ce moment du sablier des époques est tellement dépeint, mystifier et encore tellement présent, qu’il fait encore rêver certain, perdu dans la matrice du temps. Une période qui raisonne encore tellement avec notre culture, notre quotidien, que votre concessionnaire n’hésitera pas à vous montrer le chemin des phares ronds et des réservoir peanut pour vous faire acheter d’onéreuses motos « stylée 70’s ». Gardant ainsi graver à jamais l’image, ou du moins son reflet, d’une liberté sans conditions, si tu concède bien sur à aligner les billets.
Et c’est précisément pour toutes ses raisons, aussi obscures ou fausse soit-elle que nous avons poursuivis ce bruit rauque d’échappement, cette vibration, qui laisse encore aujourd’hui s’élever de grand nuages de poussière le long de la route des salins.
South’s Dust est un essaie visuel au song de la Harley Davidson sportster 73, aux odeurs d’essence, de pins, de sel marin. Durant un weekend de shoot dans une villa californienne situer sur la presque ile de Giens, mis à notre disposition pour tenter de capturer une sensation, celle d’être hors du temps, décaler dans un univers lointain au notre. Venant ainsi érodé les dernières paroi restante quand au possible non croyance à la théorie de la relativité du temps.