Le jour du diable
Elle me suivait à travers les mers que je traversais sur ma planche. Je ne m’arrêtais pas d’escalader. Des calanques aux Pics enneigés je ne pouvais jamais m’arrêter, elle était toujours là à me guetter. Je continuait à espérer la distancer même en traversant les marécages et océans par bateaux. La vitesse que ma voiture tout terrain me procurait ne pouvait me sauver du sort qui m’était réservé. Elle me chassait nu toujours quelques part à attendre ce jour. Elle m’anéantira le jour diable.