L’éducation (c’est compliqué de changer de position pour dormir)
J’envie ces dormeurs tempêtueux, comme échoués. Des membres éparpillés, cheveux acharnés, vastes couettes à serpenter, surpris par la fatigue, à se retrouver là, à demi chorégraphiés. Des ventres à l’air, sans jamais besoin d’abri.
Dans des lits trop serrés on finit par s’endiguer dans une vie trop bordée !