Un soir grisé, ou la force de travaille se dessine sur mes vertèbres éclatées par le plie de mon bassin. Vient à mes oreilles la musique d’un monde que je soupçonne mien. Tout chez moi se dresse pour accueillir ce qui me semble le plus familié et inconnu à la fois. Elle me rappelle à une vie holobiome, ou l’harmonie n’est pas le fait du politique, mais du compost. Ou tout est organique, ressentit partout dans ce qui fait de nous plus que chaire. Un élan, un tout qui chante la justesse de ce qu’il est.
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