Chaque jour saluer du nouveau monde, ou Ôde à la fluidité
Si la constance est gage de vérité, je ne m’y fais pas. J’appelle aux changements de corps et à la dysmorphie du tout. L’ordre nouveau sera mouvant, de miettes, ou gazeux. Jamais limité par une enveloppe unique, qui propose stupéfaction à chaque correction.
Il est temps de faire sauter le cadre et de laisser couler les frustrations, d’accepter l’anti-définition. L’ère du fluide.
RIP Sophie