a, e, i, ille, iou, ioulle, ouille
« A, c’est blanc et long, disait Veniamin ; i s’éloigne, on ne peut pas le dessiner ; ille est plus aigu ; iou est pointu, plus effilé que e ; ia est grand, on peut rouler dessus : o vient de la poitrine, il est large et le son va vers le bas ; hé s’en va de côté, et je sens le goût de chacun des sons. Quand je vois des lignes, elles émettent des sons elles aussi. »
Une prodigieuse mémoire – Alexandre Luria (1965)