survie
J’écris en ce monde qui vit en ton sein
Dans tes mains abimées par sols et murs
Je nous vois entre brasier et docilité
Là où l’alarme d’urgence n’a plus de son
J’écris en un monde qui prie les putains
De sortir du placard lorsqu’il tombe vers le fond
Avec prudence et passion pour les corps prisons
Viscéralement, viole et ment, violemment