Son chez soi
on a bien rigolé
on a bien stressé
on a bien travaillé
on a passé du bon temps
mais que c’est bon de rentrer et de retrouver son chez soi. La pression s’envole, se sentir en apesanteur….
on a bien rigolé
on a bien stressé
on a bien travaillé
on a passé du bon temps
mais que c’est bon de rentrer et de retrouver son chez soi. La pression s’envole, se sentir en apesanteur….
Je pense que ne rien faire aujourd’hui, n’influencera rien sur mon avenir, qu’il soit lointain ou proche.
Thierry m’a aujourd’hui dit être en retard parce que le TGV ne pouvait pas rouler à cause des feuilles sur les rails.
Quelque part, c’est quand beau que des feuilles puissent encore contraindre un TGV.
J’en profite pour régler ces problème d’aéroport. Un problème bureaucratique. Je vous explique.
J’ai acheté un billet pour une amie, qui a deux noms. Dans un pays il faut mettre le premier. Dans un autre le second.
Il s’avère que j’ai mis le premier alors qu’il fallait mettre le second donc j’envoie un mail on me répond en anglais que non il fallait mettre le second mais que pas de problème contre 60€ on peut changer ça quelle aubaine alors je décide d’envoyer un second mail on nous demande d’envoyer un scan du passeport finalement il s’avère que contre 60€ on peut simplement annuler nos billet ouioui pas modifier mais seulement annuler les billets j’ai du mal à croire qu’annuler des billets coûtent 60€ suite à ça on contacte l’aéroport qui nous dit qu’il ne peut effectuer les modifications enfin peut-être qu’ils peuvent annuler les billets pour 70€ mais bon ça devrait passer à l’aéroport mais je peux pas vous le confirmer la voilà la bonne affaire je vais monter à Paris prendre ce putain de rer pour aller jusqu’à l’aéroport sans aucune certitude de pouvoir passer les portique avec un connard qui me dira ah mais oui monsieur madame pardon il fallait mettre le second nom pas le premier il fallait lire les conditions qu’on vous envoie après avoir commandé vos billets moi je ne suis pas payé plus à vous casser les couilles mais bon au moins ça me donne l’impression d’avoir de l’emprise sur les choses tout ça alors que moi j’ai un peu peur de prendre l’avions sachant que bien que statistiquement il y ai une très faible chance (1 sur 1 OOO OOO) de mourir en avions la différence est que contrairement à la voiture quand l’avion se crash après quelque seconde assez cool d’absence de gravité t’es sur de claquer alors pendant un mois je décide laisser tombée exaspérée par ces problèmes de paperasse à la con et que par principe je n’ai pas envie de payer 60€ aujourd’hui finalement j’appelle et là on me dit mais si sur la pièce d’identité il y a les deux noms ce n’est pas un problème mais vous êtes sur oui pas de problème.
Putain d’administration à la con.
Janvier, je me casse à Lisbonne.
J’ai décidé de mettre en application cette bonne résolution par l’achat d’une bouteille de vin. AUJOURD’HUI, la caissière a trouvé nécessaire de me toiser avant de me demander mes papier d’identité. J’ai l’impression d’être chez les flics.
Sur le chemin du retour, j’ai foutu mon pied dans la caisse d’un gars qui a manqué me rouler dessus, ce à quoi il m’a répondu que ce n’était pas une raison. Avait-il une raison de me tamponner en voiture? Connard.
Et merde, ce soir je garde les gosses.
L’écriture est le langage de l’absent.
Sigmund Freud ; Malaise dans la civilisation, III (1929)
Ça part d’une drôle d’idée, qui clôture la deuxième saison de Stranger Things, pile poil à l’heure du goûter.
La recette n’est pas facile, je me décourage vite. La cuisine c’est pas mon truc, encore moins les trucs sucrés. Changeons d’idée. Je me jette dans une quête d’idée. C’est toujours difficile de TROUVER des idées.
Souvent les meilleurs arrivent sans les chercher. Elles tombent comme une épiphanie.
Mais finalement je reviens dans mon errance, je repense à Errances. Je recroise Chloé Wise.
Et là, PAF.
De la nourriture. Du bizarre. De l’objet. De l’install’.
Mon bilan sera sucré.
Le monsieur atypique d’aujourd’hui était discret comme les autres mais dans son genre bien à lui.
En rentrant chez moi, j’entend du biniou au loin. Nouvellement arrivée en Bretagne, j’adore ce petit son strident et bien typique. Je me déporte dans vers cette source sonore. Et la, parmi les passants rentrant chez eux, un monsieur, doudoune et sac au dos, marche (plus ou moins en ligne de gauche à droite) tout en faisant du biniou. Pas de costume, pas de chapeau pour ramasser les pincettes, juste par bonheur, pour les autres.
Nous nous sommes donc assises sur le banc, et avons profiter de ce petit instant volé.
C’est bien, et j’ai souri.
Pas de publication. Sautons dans le gouffre, mais toujours avec le sourire.
Sourions, serrons les dents
Cela manque d’un corgi.
L’archivage d’une merveilleuse trouvaille. Qui ne valait pas son prix, mais qui promet de petits déjeuners d’un chic fou.
L’approche de Noël me donne l’espoir que quelqu’un de bienveillant m’offrira ce trésor rare.
Pitié Père Noël, si tu m’entends.
J’ai été hyper sage.
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