//////La maison rose
« … »
On ne me répond plus, j’ai crainte qu’iel soit partit par pur mépris de mon incompétence. Les questions continuent de fuser dans ma tête d’empreins jusqu’à brouiller ma vue de larme. La panique est inconnue à ce corps qui n’est pas le mien, les larmes crées dans la precipitation sont faites de la glaise épaisse qui tient l’ensemble du visage. Le corps s’abime, la détresse du peuple le détruit, et bientôt la peau ne sera plus.
« Dois-je seulement sortir d’ici, y’a t’il un dehors à cet au-de-la ? »
La glaise me plante sur le carrelage de la maison rose, le corps coule et je commence à sentir le vide sur mon propre dos de penser. Il est vertigineux, et sans la protection offerte par le « on » il m’est impossible de ne pas devenir fous. Les yeux se gâtent, et donnent des couleurs que je ne doit pas connaitre. Il me semble avoir sous ces yeux tout ce qu’un quelqu’un du peuple peut demander comme réponse sur tout. Mais je ne veux pas voir ces couleurs, tout est trop.
Mais maintenant tout s’arrête. La gélatine quitte ce qui reste des cavité du regard, « on » reprend ses yeux. Je ne voit plus.
« C’est terminé, on va sortir. »
« Ai-je gagner ? »
« On ne gagne pas ici, on évolue, on collecte, on fait ses baguages pour sortir du tunnel, et on lui laisse manger ce que l’on laisse derrière nous. »
« … »
« Le tunnel a ingéré le reste de ce qu’était ta vie. Tu vas revenir dans le vivant avec comme seul échappe la maison rose. Si on voit les choses tel que vous les concevez toi et ton peuple, on peut admettre que tu as encore perdue à ce jeux auquel nul ne peut gagner. Ton toi est peut être encore trop jeune pour rester dans le tunnel, la prochaine fois cela sera peut être différent. »
Il me viens que je ne suis plus sensé être, le peuple m’avait soufflé que rien ne devrait plus exister à ce moment précis. Pourtant je suis. Il me semble être deja venue dans le tunnel qui se régale de ce que j’étais et fus encore avant cela.
« Elle te reviendra dans le vivant. La maison rose formera pour toi un endroit qu’il te faudra choisir de ne pas regarder. Tu ne dois la voir que dans le tunnel et en rêve pour preparer ta prochaine visite. La voir te sera possible, mais jamais tu ne devras la regarder. Ne donne pas l’occasion au tunnel de te manger tot dans le vivant, il aura toute l’occasion de le faire quand nous nous reverrons. »
« C’est la fin ? »
« De cette vie oui. »
« Mais quel est le but ? Dois-je objectivé le tunnel comme dernière demeure ? »
« Vois la vie dans le peuple comme un entrainement à ce que le tout prévois, le tunnel est une étape qu’il vous faut tous subir avant de grimper à une autre échelle. La prochaine fois il te sera peut-être possible de me rencontrer, de me voir. Nous pourrons partager les barreaux de l’échelle que je grimpe pour le moment seul. »