Comme un air de
..............................pas de retouche pas touche comme un air de fin point..............................
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Je me suis emballé. Elle aurait du le faire croit moi. J'agis comme si ce n'étais pas moi. Elle était pas là pour voir. Je ne veux rien comprendre. Elle arrête de penser. Je réponds comme à une étrangère. Elle ne sait plus quoi dire. Je m'en vais. Elle prend place.
Une nouvelle phase s'annonce. Le cerveau reprend sa place, le corps s'apaise et la vue s'éclaircit. Comment te dire que je vais bien ou pas ? Je n'ai pas envie de t'encombrer. Alors j'écris et les sens suivent la danse. Classique. La beauté n'est qu'une question de volonté. Je n'ai pas envie de faire des efforts. Un grand nettoyage s'impose. La vie reprend son cours. Et j'ai faim de tout.
J'ai plongé. Plus j'essaie d'atteindre la surface plus mon corps s’alourdit. Mon crâne touche l'air, les gens observent mes cheveux en souriant. Je fais mine de respirer sous l'eau alors ils détournent le regards. Je baisse la tête, je ne peux pas être aussi profond en aussi peu de temps. C'est l'eau qui monte ou c'est moi qui coule. Sûrement les deux. Pourtant, il y a deux minutes j'étais au bord de l'eau, et dans deux minutes je serais les pieds dans l'eau. Il faut juste que je remonte à la surface. Il faut juste.
Tout le monde fait des rêves mais tout le monde délaissent les cauchemars. Pourtant, ils forgent l'esprit à se défendre et à affronter ce que l'on ne veut pas voir. Les rêves ne sont que la facilité de l'esprit alors tout le monde en fait.
Lily sort de la voiture, carnet à la main. Elle s’adosse à la voiture, sort une cigarette de sa poche, l’allume, l’approche de ses lèvres, s’arrête, ouvre son carnet. Plusieurs noms d’homme y sont écrits. Lily écrit le nom de Paul et laisse une marque de la cigarette. Elle pose la cigarette encore brûlante sur les lèvres du chauffeur mort. - Alors comme ça t’as voulu me fumer ? Elle enclenche les warnings de la voiture et pars.
Ruelle. Nuances. Oreille.
Le rendez-vous était fixé à 14h46. À cette époque, les murs étaient froids, les gouttières se bouchaient de glaces et les fenêtres se cristallisaient. Personne n'osait s'aventurer ou se perdre dans la ville, les seules traces de vies étaient encrée dans la neige. À droite, la rue était sombre, le soleil n'arrivait pas à toucher l'immeuble. Il s'engouffrait dans le noir et, pendant un court instant, il se mit à sourire, imaginant la vie d'un aveugle. Les couleurs seraient un concept, l'indigo, sa couleur préféré, ne serait même pas dans sa tête. Ses yeux deviendraient ses mains. Il s'imagina alors sourd. L'éternel silence serait pour lui un moyen d'écouter enfin ses envies. Il releva la tête, il était déjà arrivé. 14H46. Il était à l'heure.
le corps pèse aussi lourd que l'esprit ou c'est l'inverse, je suis perdue. le plaisir a quitté mon appartement comme il a quitté mon être. les hommes ne savent pas...les hommes ne savent pas...les hommes ne savent pas... c'est simple, ils disaient, c'est... simple.
J’aimerai que mon cerveau fuit pour laisser échapper les pensées qui m’épuisent car je vais me l’avouer, je suis fatiguée de dormir.
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