Errances

https://geekweb.fr/%E2%9A%A0%EF%B8%8F-a-ne-pas-reproduire-chez-soi-%E2%9A%A0%EF%B8%8F-minutebuzz/

Y’a pire donc,

Mon gratin dauphinois calciné, allégé de 100 gr mais le pire ne passe pas sur errance  : l’ODEUR .

Y’a la couleur, le bruit (des voisins du dessus) et l’odeur. Tiens ça me rappelle une  chanson de zebda.

Aujourd’hui, le fond de l’air était très froid.

Glacial.

Comme un Fillon qui annonce qu’il sera finalement le candidat des Républicains, parce que les électeurs l’ont appelé, l’ont ovationné, l’ont porté en héro.

Austèrement glacial.

C’était son final countdown à lui. Il nous faut tous un but dans la vie. Lui, son but, c’est d’être con. Et glacial. Et catho. Intégriste. Conservateur. Mono-sourcilier.

Je me retiens, mais je ne peux pas faire cette blague :
Fion.

Voilà.

P.S.: Maureen, c’est bel et bien moi qui n’a pas arrêté de fredonner cette chanson hier. Je l’ai réécouté en lisant ton post, je l’ai maintenant de nouveau dans la tête, et pour la peine, je la re-post ici.
Des bisous.

Quand t’as dormi moins de 4h la nuit précédente, que t’as bossé le matin, et passé plus de 4 h l’après midi sur photoshop à l’école pour accoucher d’une souris , souris qui te rappelle que le curseur de ton mac te rend folle depuis 15 jours, la pire chose qui semble pouvoir t’arriver en rentrant chez toi c’est ça :

Je ne sais pas qui a sifflé cette chanson cette après-midi, mais depuis je l’ai dans la tête

Absente pour surplus de travail 

A vendre

Fond de Cubis de Celliers du Mazet ayant servit lors de l’expédition à Brocéliande en octobre 2016

Non utilisé depuis, qualité préservée 8 semaines après ouverture donc il est encore bon

Vin Rouge de la communauté européenne

« Les Vins de la gammes « Celliers du Mazet » sont le fruit d’une sélection rigourese par nos oenologues dans les principaux vignobles européens. Choisis pour leur authenticité, ils seront parfaits compagnon de vos instants conviviau. Rond et équilibré, ce vin Rouge Cellier du Mazet, révélera toutes ses qualités gustatives avec vos viandes et fromages de caractère  »

Faire offre

« […] la philosophe et dresseuse de chiens et de chevaux, Vicki Hearne, raconte que les expérimentateurs expérimentés conseillent aux jeunes scientifiques de ne pas travailler avec les chats. »

Vinciane Despret a réécrit la même phrase dans son autre livre Que diraient les animaux si on leur posait les bonnes questions ? de 2012

Dans Penser comme un rat, de novembre 2009, Vinciane avait continué par : « Il semblerait en effet que, dans certaines circonstances, si vous donnez à un chat un problème à résoudre ou une tâche à exécuter pour trouver de la nourriture, il va le faire assez rapidement, et le graphique qui donne la mesure de son intelligence dans les études comparatives connaîtra une courbe ascendante assez raide. Mais, elle cite [Vicki Hearne] ici un de ces expérimentateurs, « le problème est que, aussitôt qu’ils ont compris que le chercheur ou le technicien veut qu’ils poussent le levier, les chats arrêtent de le faire. Certains d’entre eux se laisseront mourir de faim plutôt que de continuer l’expérience. » »

Dans l’autre livre, paru 3 ans plus tard, le passage a été remplacé par un autre du même style à propos des perroquets.

C’est justement le passage que j’avais partagé sur Errances le 15 octobre 2016. L’article se nomme Inciviques parrots.

bon lundi.

Toujours pas 

https://youtu.be/9VAGz2Mb_hA

un peu de pub.

J’ai fait mon anglais : part 3 « addiction to the games of chance – sport’s bets », en 1h30;
et ça sera suffisant.

Aujourd’hui Sylvie m’apprend qu’elle travail chez P. depuis 17 ans.
Puis elle m’explique ses journées : elle arrive chaque matin 30 minutes en avance afin d’ouvrir le magasin à 9h tapante, prend sa pause réglementaire d’une heure le midi mais décide de rattraper son retard et ne prend en fait qu’un quart d’heure pour avaler un sandwich dans la réserve.
La journée pourrait finir à 19h quand elle ferme le magasin mais elle doit rester jusqu’à 20h pour recompter et nettoyer.

J’ai essayé de calculer combien d’heures de sa vie Sylvie a offert à P., dont elle ne connait les supérieurs hiérarchiques que par téléphone pour se faire entendre dire « Quel est votre prénom déjà? On en est où du PM? et le taux de transformation ? Ouais bof va falloir se réveiller les filles! », ce même P. qui la paye au SMIC depuis 17 ans.

« Ah ben oui ma pauvre petite c’est comme ça que le monde du travail fonctionne aujourd’hui. »

Devant ma mine effarée, Sylvie termine la conversation : « Il est super sympa ton chemisier, il vient d’où ? »

Tout est flou là. Quel l’horreur.

C’est tout un art de faire croire.. quelque part les politiques sont un peu artistes alors.

Mon araignée a moisi.