Errances

La preuve.

Pour un parcours de street art ds le 13 eme , sur fond de ciel gris pollué, un vendredi apres midi avec des ados apres 1h30 de bouchons sur le periph et autant pour le retour .

Vive la capitale!

Bib =90/100 (more…)

Je viens de faire une passation « gestion compte en ligne pour PS4 » au father. cadeau !
joyeux Noël.

mon cadeau de noël durera 9 jours.

le chameau de Vincent :

sur une planche de
114cm + 4cm de haut
41,5 cm + 4cm de large;

dessiner un chameau avec
3,5 + 2 cm à sa gauche ,
7,5 + 2 à sa droite
31 cm + 2 de la tête aux pieds

L’encadrement au besoin, couvrant les 2 cm de chaque coté 6 cm pr les cotés droits et gauche, 9 cm x en bas, arc de cercle en haut.

Avec de la craie et du cidre,

ils font du plâtre,

les billes de peintures ont cinglé leurs corps,

jusque dans les parties les plus intimes,

un « titan race » puis

tic tac boum,

entre la table et la tablette,

l’amour, toujours.

On the way..

Un peu plus simple qu’hier..

« Une anthologie ou florilège est un recueil de morceaux choisis, en prose ou en vers, ces différents extraits partagent les mêmes caractéristiques : thèmes, genres, styles, langues, origines géographiques de leurs auteurs, etc. Un exemple ancien est l’Anthologie grecque »

surprenant tout de même.

Vous vous questionnez aussi sur ce qu’est l’ontologie?

Maintenant je sais .

Juste envie de remercier annie pour son art, sa disponibilité, sa gentillesse et son chocolat.

CD bile

J’ai assez erré aujourd’hui, 5 heures sur l’édition. Suis à cours.

aujourd’hui était un jour meilleur;`j ‘ai gal erré sur photoshop et indisign mais avec plus de résultat qu’hier.

Je reviens d 1 spectacle d ‘impro au bacchus : « lui et l’autre » .c’est bon de rire.

Y’a pire donc,

Mon gratin dauphinois calciné, allégé de 100 gr mais le pire ne passe pas sur errance  : l’ODEUR .

Y’a la couleur, le bruit (des voisins du dessus) et l’odeur. Tiens ça me rappelle une  chanson de zebda.

Quand t’as dormi moins de 4h la nuit précédente, que t’as bossé le matin, et passé plus de 4 h l’après midi sur photoshop à l’école pour accoucher d’une souris , souris qui te rappelle que le curseur de ton mac te rend folle depuis 15 jours, la pire chose qui semble pouvoir t’arriver en rentrant chez toi c’est ça :

J’ai fait mon anglais : part 3 « addiction to the games of chance – sport’s bets », en 1h30;
et ça sera suffisant.

C’est tout un art de faire croire.. quelque part les politiques sont un peu artistes alors.

J’ai des pompes de la même couleur que la cravate portée hier par le candidat pour qui j’irais voter demain.

Partir le matin avec des poches sous les yeux c’est gagné en assurance de ne pas perdre les clefs.

J’avais un gros programme pour cet après midi. Rechercher ma clef de cadenas sur le trajet , passer au bureau gérer mes mails, offrir une consultation chez apple à ma souris qui devient folle, imprimer des photos..

finalement j’ai fait une sieste et je vais la transformer. On verra demain. d’habitude je ne suis pas pro du crastinage mais apprendre à procrastiner c’est toujours apprendre, et bon à prendre.

A bon entendeur..

?? Qui n’a jamais connu cette sensation d’être efficient(e) – au mieux de ce qu’on peut faire- jusqu’à ce que  .. 

en cherchant jean François Maurige je tombe sur Dominique Abensour pour entendre qu’elle ne m’a pas vu depuis longtemps que je dois faire le point par mail sur les cours ratés (2 à ce jour, un en raison de mon Brocéliande à moi, l’autre because boulot), et faire ce soir ma critique d’exposition sur Soulages pour demain. Point.

Et voilà que.. en pensant à cette critique à vélo sur le chemin du boulot, je tombe, m’écorche genou et 2 doigts jusqu’au sang, repars, arrive au boulot et ne retrouve pas ma clef d’antivol , fais le choix de repartir en sens inverse, la trouve facilement avec sa dragonne, par terre. Arrive très en retard à mon bureau.
Réserve 1h sur mon temps de travail pour commencer ma critique sur l’expo Soulages. Prévois de partir à 17h15 max pour le cours de rattrapage de mme Abensour à 17h30.
Pars finalement à 17h25. Pense au sketch de Foresti « Tant qu’on n’a pas dépassé l’heure, on a toujours l’impression qu’on va pouvoir le faire ». Regrette de manquer de temps aujourd’hui pour m’arrêter au marché.
Attends trop aux feux.
Passe 1’ chez moi pour me délester de l’appareil photo et prendre cahier et texte de Brian Oberty. Vérifie par habitude ma clef de cadenas dans ma poche. Plus de clef. Redescends avec frontale en poche.
17h38 Fais le choix de repartir en sens inverse. Ai du mal à concentrer mon regard sur la route. Attends à nouveau aux feux interminablement. Arrive sur les lieux de mon travail bredouille.
17h50 Repars en pédalant à fond, frontale toujours en poche car sans pile. Quitte les yeux du sol devant le marché..
Passe tous les carrefours sans m’arrêter, puis devant chez moi poursuis ma route.
18h12 arrive aux beaux-arts, fais un semblant d’accrochage avec le cadenas fermé. Arrive avec 40 mn de retard, m’excuse gênée « j’étais au travail » – c’est pas complétement faux en même temps. 
Conclusion :j’aurais fait en tout plus d’1h de vélo aujourd’hui, paradoxalement pris le temps d’écrire un long texte sur errance et à Minuit 22 j’ai toujours pas fini ma critique.

Quand j’ai dit que j’avais posté ma cervelle, il m’a répondu :

_ T’as pas du mettre un gros timbre !

J’entends souvent « mais t’as pas de cervelle ! »

Suis rassurée j’ l’ai retrouvée ce matin.

Mais c’est moi qui l’ai mangé .

« Péter c’est pas élégant mais c’est nécessaire. »