Errances

21 décembre 2020

J’y pense parfois

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Love or whatever

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19 décembre 2020

Chronophotographie en HD

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18 décembre 2020

2 – Anthony

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Anthony laisse pousser ses cheveux sans les coiffer et prétend que c’est pour ne pas aller chez le coiffeur mais la vérité c’est qu’on lui a souvent dit que les cheveux longs lui allaient bien.

Il porte toujours des joggings: il aime être libre de ses mouvements et ne cherche pas à compiler ses habits avec d’autres critères que leur fonction.
Il n’nlève jamais son collier, cadeau de sa mère: un crystal supposé apporter de la force, bien qu’il sache qu’il est sûrement en verre ou en résine, et a changé la cordelette pour une corde de bateau nouée avec deux noeuds coulissants.

Anthony garde sa montre même pour dormir, parce que le cadran s’allume et qu’il peut avoir l’heure à tout moment, lui qui n’a pas toujours son téléphone.

C’est un téléphone de chantier plutôt gros mais qui résiste aux chocs et à l’eau, cadeau de sa mère également.

Anthony vit en colocation avec deux Samy et « Breton », même s’ils sont souvent plus d’une dizaine dans le vaste appartement. La propreté n’est pas leur priorité mais on y mange et boit très bien.

16 décembre 2020

1 – Diego

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Diego est grand et beau, pour ces raisons, il ne jamais inaperçu.
Il a laissé poussé ses cheveux et se les coiffe toujours en longues tresses aux motifs sophistiqués sur le crâne.

Sans être superficiel, Diego aime les choses luxueuses et porte la plupart du temps des boucles d’oreilles et un collier en or que lui a offert Lisa.
Elle lui a également fait cadeau d’une montre numérique assez high-tech; il est plutôt nerveux et il arrive que sa montre sonne doucement quand son rythme cardiaque s’accélère.
Alors, une voix artificielle lui conseille de respirer une minute.

Le téléphone de Diego est un iPhone sorti tout récemment, protégé par une vitre et une coque simples.

Diego vit avec Lisa dans un appartement où ils laissent la cage de leur lapine ouverte pour qu’elle puisse s’épanouir plus librement. Les deux octodons eux, sont confinés dans la leur.

15 décembre 2020

Attention à ce que l’on souhaite

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J’ai souvent souhaité être invisible, et parfois, sans que je l’aie décidé,
l’Univers me renvoie ce vœu à la figure:
– Tu seras invisible MAINTENANT, ici, parmi eux.

Alors, sûrement quelque chose d’involontaire dans mon attitude rend tout autour de moi
hermétique à ma présence.

Ma voix est inaudible, mon corps transparent, et pour un temps,
j’existe à peine.

14 décembre 2020

J’ai des difficultés avec une fleur.

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Page d’un de mes carnets de 1ère année – 2018.

12 décembre 2020

Par rapport aux autres

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Ce sont des choses qui arrivent, nous ne nous reconnaissons plus,
nous nous pinçons pour nous éveiller d’un rêve, mais c’est en rêve que
nous nous pinçons. À chaque instant, nous faisons des gestes qui ne sont
pas les nôtres, nous prononçons des mots qui appartiennent à d’autres,
nous imitons les intonations ou les expressions de ceux qu’inconsciemment
nous désirons être. Essayer d’être un autre est une façon de devenir
soi-même. Avec un peu de constance, il est possible d’y parvenir. Et se
reconnaître dans un autre est presque aussi troublant que de ne pas se
reconnaître soi-même. -Paul Auster

Mais n’est-ce pas en imitant qu’on apprend, qu’on évolue ?
Peut-être agit-on avec le secret espoir que ces attitudes finissent
par devenir nôtres, qu’enfin familiers, ça soit à travers ces mots
et ces gestes qu’on se reconnaisse.
Comme si notre inconscient nous poussait à ressembler à ces autres
pour s’en rapprocher, jusqu’à ce que leurs expressions nous appartiennent.
Parce qu’adopter leur langage fluidifie la communication,
parce qu’on veut être compris.

11 décembre 2020

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Ils sont heureux comme des cochons dans le fumier jusqu’à ce que j’arrive.
J’ai l’impression d’être comme ces salauds sinistres et cafardeux que le favori de Seymour, Chuang-Tsu, conseillait aux gens d’éviter.
« Prenez garde quand les soi-disant hommes sages apparaîtront à vos yeux en boitant. »
Zooey s’immobilisa sur sa chaise et observa le tourbillon des petits flocons de neige.
– Il y a des moments où je pourrais m’allonger par terre et mourir heureux, dit-il.

Franny et Zooey – J.D Salinger.

9 décembre 2020

house on fire

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Fluide

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8 décembre 2020

Soleil

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6 décembre 2020

Tout pareil

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On admire le paysage pendant notre tour de plateau puis retour à la case départ.
Comme si on avait jamais avancé le pion.

4 décembre 2020

01.03 AM – English Breakfast

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2 décembre 2020

Rimon – What they called me

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Issues de secours

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Il traverse les pièces en laissant les portes ouvertes derrière lui.
Au cas ou
il voudrait partir.

Pas de promesses.
Il me laisse y croire, mais pas trop fort.
Prépare le terrain pour ce moment qui, bien que situé dans un futur très flou, arrivera certainement.
Il est fataliste.
De temps en temps il me le rappelle.
Je dois déchiffrer ses signes:
« ça ne durera pas toujours »
Je sais qu’il est bien ici, pourtant,
je sens qu’il pense à s’échapper.

1 décembre 2020

c la kriz

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\(;゚∇゚)/

29 novembre 2020

Jour 30

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Jour 30:
Faute d’avoir fait les courses, la nourriture se fait rare dans la villa.
La faim attise les tensions entre nos candidats, que les moindres détails rendent irritables.

Cheers *saxophone music playing softly*

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26 novembre 2020

Panthure

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bleu sur fond blanc

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25 novembre 2020

Ici je perd (perds ?) tout

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J’avais l’intention de m’appliquer à faire un chouette dessin ce soir, mais j’ai passé tellement de temps à chercher mes affaires que l’envie m’est totalement passée.
Je me cherche peut-être des excuses mais il me semble que de toute façon il est trop tard.
Bonne nuit à tous.

24 novembre 2020

Oranges

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22 novembre 2020

Pictionnary (devinerez-vous ?)

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21 novembre 2020

Anatomie

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Dans sa poitrine un cœur chaud pourtant
Mais capricieux et inconstant.

19 novembre 2020

Double page encore

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17 novembre 2020

Princesse de la Mer

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16 novembre 2020

*insérer bruits de vagues*

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Eaux d’infinies fascinations.

Aïe ça pince

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15 novembre 2020

CCC: clichés, couple et coucher de soleil

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Elle connaît son corps par cœur pourtant,
elle a dû passer des milliers d’heures à l’observer, encore plus à l’imaginer,
derrière ses paupières closes, ou même les yeux ouverts, il faut l’admettre.

Mais quand il est entré dans les flots glacés pour la rejoindre, le temps a ralenti comme pour lui laisser le temps d’observer chaque détail.

On aurait dit une de ces statues grecques qu’elle avait souvent dessiné dans les musées: corps parfait, cheveux bouclés.
La lumière sur son torse faisait scintiller d’or les gouttelettes, tandis que les vagues continuaient de l’éclabousser.

Son sourire, son sourire chaud était la vie même; oui, et son sourire, son sourire à lui était pour elle.

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