24 novembre 2019
23 novembre 2019
22 novembre 2019
21 novembre 2019
20 novembre 2019
Les fourchettes
J’ai rêvé cette nuit que mes parents avaient organisé un repas de famille. J’étais accompagné d’une fille, mais mes parents ne lui avaient pas donné de verre. Ma mère m’avait servi une assiette de salade, avec du maïs. Je me suis levé pour aller chercher un verre, mais quand j’ai ouvert le placard dans lequel ils se trouvent normalement, il n’y en avait plus aucun. Alors j’en ai ouvert un autre, pareil. J’en ai ouvert un troisième et celui ci était rempli de fourchettes qui me sont tombées dessus. Il y en avait plein, j’ai bien eu du mal à les remettre en place. J’ai refermé le placard et j’en ai ouvert un quatrième, et celui ci était rempli d’appareils photos jetables, qui avaient une limite de 13 photos. J’en ai récupéré un et j’ai pris deux photos de mes grands parents. Quand je suis retourné m’assoir à ma place, j’avais oublié le verre pour mon amie, et en plus elle et ma mère avaient mangé ma salade.
19 novembre 2019
J’ai fait un rêve
Dans mon rêve j’étais avec ma mère aux États-Unis d’Amérique, et on devait passer des épreuves, à valider avant je ne sais quoi. Il nous restait une dernière épreuve à faire, et c’était un rituel, quelque chose à faire d’obligatoire pour les gens d’ici.
Ça consistait à rentrer dans une simulation, dans un monde virtuel, pas forcément numérique mais plus comme si il y avait plein de gens qui faisait le même rêve. Dans ce monde parallèle, il n’y avait qu’une seule carte, un seul endroit. Il pleuvait, on aurait dit un paysage d’Écosse près de la mer, sauf qu’il n’y avait pas la mer. Il y avait du relief, des petites collines, avec un grotte. À côté de la grotte, il y avait des créature de la foret, des sortes d’arbres avec une forme humanoïde avec des crânes de cerfs en guise de tête. Il y avait quelques personnes dans la caverne. Un peu plus loin, il y avait une petite cabane avec un préau. On était plein à être dans ce monde, peut être une cinquantaine je dirais. On devait survivre. Si on réussissait ça, on avait fini l’épreuve.
Au bout d’un moment il s’est mit à pleuvoir encore plus fort, et la zone a commencé à être inondée. Et l’eau montait, montait. Il y avait des éclairs, les gens commençait à se noyer, moi et ma mère on a couru sur la plage sauf qu’il y a eu un bombardement sorti de nul part, et on est morts.
On est revenu dans le monde réel, et on a recommencé la simulation. Cette fois on était prêt. Un enfant qui s’appelait Grégory ou Grégoire je ne sais plus trop, bref il y avait un prénom qui commençait par Greg, nous expliquait l’histoire de ce monde. C’était Gandhi, son mentor qui avait conçu cette épreuve.
Quand la pluie a commencé a tomber, on s’est dit qu’on allait aller dans la grotte pour être à l’abris des bombardements. Mais dans cette simulation, il n’y avait pas de bombardements. On a voulu se diriger vers la caverne mais on a vu qu’elle s’était fait engloutir par l’inondation, alors on est resté dans la cabane. On était beaucoup.
Quand l’eau est arrivé à notre hauteur, il s’est arrêté de pleuvoir. Tout était calme mais tout le monde était nerveux, agité. Et c’est alors que des créatures aquatiques sont sorties de l’eau, elles ressemblaient à celles décrites dans les textes de Lovecraft. Elles avaient l’air affamées et méchantes, mais elles ne se sont pas approchées de nous. Elles ont laissé la place à d’autres monstres, qui elles ressemblaient à des vers, mais en plus gros et avec des dents. J’ai pris doucement le tournevis qui était posé devant moi, en faisant attention à ne pas les énerver. Finalement personne n’est mort, du moins pas ceux qui étaient dans la cabane.
L’eau est descendue, et il nous restait une dernière chose à faire avant de terminer. On est allé dans la grotte. Là, il y avait un trou, un puit duquel sortait de l’eau, et de l’eau sortait les créature aquatiques. Quand elles nous ont vu dans la grottes, elles ont voulu nous tuer, mais on a sauté sur un énorme rocher. Il y avait une surface en or qui brillait, alors on l’a détruite. L’épreuve était finie.
La simulation (ce n’est pas un récit sexuel rassurez-vous)
Dans mon rêve j’étais avec ma mère aux États-Unis d’Amérique, et on devait passer des épreuves, à valider avant je ne sais quoi. Il nous restait une dernière épreuve à faire, et c’était un rituel, quelque chose à faire d’obligatoire pour les gens d’ici.
Ça consistait à rentrer dans une simulation, dans un monde virtuel, pas forcément numérique mais plus comme si il y avait plein de gens qui faisait le même rêve. Dans ce monde parallèle, il n’y avait qu’une seule carte, un seul endroit. Il pleuvait, on aurait dit un paysage d’Écosse près de la mer, sauf qu’il n’y avait pas la mer. Il y avait du relief, des petites collines, avec un grotte. À côté de la grotte, il y avait des créature de la foret, des sortes d’arbres avec une forme humanoïde avec des crânes de cerfs en guise de tête. Il y avait quelques personnes dans la caverne. Un peu plus loin, il y avait une petite cabane avec un préau. On était plein à être dans ce monde, peut être une cinquantaine je dirais. On devait survivre. Si on réussissait ça, on avait fini l’épreuve.
Au bout d’un moment il s’est mit à pleuvoir encore plus fort, et la zone a commencé à être inondée. Et l’eau montait, montait. Il y avait des éclairs, les gens commençait à se noyer, moi et ma mère on a couru sur la plage sauf qu’il y a eu un bombardement sorti de nul part, et on est morts.
On est revenu dans le monde réel, et on a recommencé la simulation. Cette fois on était prêt. Un enfant qui s’appelait Grégory ou Grégoire je ne sais plus trop, bref il y avait un prénom qui commençait par Greg, nous expliquait l’histoire de ce monde. C’était Gandhi, son mentor qui avait conçu cette épreuve.
Quand la pluie a commencé a tomber, on s’est dit qu’on allait aller dans la grotte pour être à l’abris des bombardements. Mais dans cette simulation, il n’y avait pas de bombardements. On a voulu se diriger vers la caverne mais on a vu qu’elle s’était fait engloutir par l’inondation, alors on est resté dans la cabane. On était beaucoup.
Quand l’eau est arrivé à notre hauteur, il s’est arrêté de pleuvoir. Tout était calme mais tout le monde était nerveux, agité. Et c’est alors que des créatures aquatiques sont sorties de l’eau, elles ressemblaient à celles décrites dans les textes de Lovecraft. Elles avaient l’air affamées et méchantes, mais elles ne se sont pas approchées de nous. Elles ont laissé la place à d’autres monstres, qui elles ressemblaient à des vers, mais en plus gros et avec des dents. J’ai pris doucement le tournevis qui était posé devant moi, en faisant attention à ne pas les énerver. Finalement personne n’est mort, du moins pas ceux qui étaient dans la cabane.
L’eau est descendue, et il nous restait une dernière chose à faire avant de terminer. On est allé dans la grotte. Là, il y avait un trou, un puit duquel sortait de l’eau, et de l’eau sortait les créature aquatiques. Quand elles nous ont vu dans la grottes, elles ont voulu nous tuer, mais on a sauté sur un énorme rocher. Il y avait une surface en or qui brillait, alors on l’a détruite. L’épreuve était finie.
18 novembre 2019
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6 novembre 2019
Une nuit d’hivers.
Je venais d’acheter un sac de couchage vert, où on peut le lier avec un sac du même modèle. Il y avait beaucoup de monde que je ne connaissais pas. Il faisait froid, et il n’y avait pas assez de matelas pour tout le monde. J’ai trouvé quelqu’un qui avait le même sac de couchage. On a dormi ensemble.