Errances

7 novembre 2018

berlin/

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 11:10

chat

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 10:35

a toute au cap ((((;

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 10:30

berlin/

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 10:21

halloween 

 

 

 

berlin/

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 10:16

Karlkungerstr, Boddinstr, Hermanstr, bendastr, rathaus neukolln, kotbusser tor, sonne allee, karlmarxstr, warschauerstr, frankfurter allee… Berlin je te quitte et je reviens et je pleures. Dans l’oreille je dis « i love you » et il dit « i love you too ». J’ai embrassé le garçon dans la fête et j’ai pleurée sur le canapé orange. Elle me dit « je t’embrasse », « do you want a cigarette? ». Elle me roule une cigarette et m’embrasse la joue. Berlin m’embrasse la joue et il fait 5 degrés. La forêt est rouge pomme, âme délabrée (j’ai écris un poème dans le train: forêt apocalyptique).

6 novembre 2018

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 15:51

tu te mouche

petite mouche

t’as la mouche.

2 novembre 2018

retour

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 18:53

on est partit une semaine dans les méandres de berlin avec christian, alors du retard dans l’errance mais pleins de choses arrivent, déso Thierry.

23 octobre 2018

le ciel est un violon d’ambre

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 20:33

https://www.youtube.com/watch?v=wAzqTccKGGs&t=8s

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 16:13

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 11:52

22 octobre 2018

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 11:54

 

 

20 octobre 2018

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 18:23
ouïe. écoutes. t’entends. entrailles. entrave. entourloupe. antilope.
vue. voir. t’as vu. regarde. regard. edgar. guépard.
toucher. ressentir. sensible. sensation. le pull. tu te gratte. gratouille. gargouille.
goût. tu mange quoi? tu mange qui. t’as plus faim. fin (c’est fini). dauphin.
odorat. sentir. sentience. sentiment. ton parfum. les fleurs. tu pleurs. chasseur. chevreuil.
sixième sens. subtil. substance. sucre. survivre. super. chouette. mouette.

c’est quand l’été

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 18:05
j’ai pleuré de savoir qu’il s’en allait pour rejoindre l’été, et que pour moi les choses deviendrai grises et poussière. une porte qui se ferme et une autre qui s’ouvre. entre les deux j’ai un peu froid.

19 octobre 2018

lovers

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 14:09

18 octobre 2018

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 20:39

<3

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 00:13

16 octobre 2018

célia

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 20:25

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 20:22

le havre été 2017 et une chanson de moi

15 octobre 2018

5 « ils construisent la ville et ils construisent les êtres »

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 18:25

fragment indécidé du jardin planétaire

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 18:16

 

14 octobre 2018

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 17:27

le tourbillon des âmes sur le rocher

11 octobre 2018

ultra rêve

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 00:57

10 octobre 2018

4

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 19:32

il y a un endroit qui rappel les photos dans les grottes sur la plage. il fait un trou dans le mur, pour la lumière, et le rayon devient une image. le mur c’est la vue de dehors. je n’y ai jamais été mais le lieu orangé m’y emmène chaque fois. ils ont enfermé la ville sous une bâche blanche. je n’ai pas osé la tirer comme un rideau, on m’aurait vu. depuis l’intérieur il n’y a personne. ce sont les restes de quand quelqu’un y venait l’après midi faire une sieste comme sous un arbre. un some romantique. désespéré. les yeux ébahis sous la paupière. 

« viewers slip into reveries of subject and object, of self and substance in intimate confrontation ».

ils ont fermé la ville. fermé le dehors dans le dedans. un néant concentré. l’image s’est brusquement envolée parce que la porte grince et le vent emporte certaines choses. précautionneusement il oublie les choses lourdes comme les immeubles, dérange celles qui hésitent comme les livres (les pages tentent de fuir mais ne font que défiler dans un bruit de bord de mer), et les cheveux fins. le reste s’en va.

le vent c’est pour nous dire de courir après ce qui s’efface, mais depuis le silence ici il se fait rare. alors chaque bourrasque est un spectacle. 

ça sent l’arc-en-ciel!

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 19:13

les pousses de la part céleste

9 octobre 2018

3

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 15:23

ici le langage des mots n’existe plus. à force de se taire les gens sont devenus presque muets, parce que parler dans le silence qui amplifie la voix rend trop présentes les idées. c’est comme ça que j’ai appris à me taire, pour rencontrer des regards et des souffles qui disent mille choses. ainsi la ville et les gens ont un langage commun. un unison comparable à une osmose. Tout entendre. le moindre tremblement est un message que longtemps on avait oublié d’écouter. regarde le soleil. regarde mes yeux. pose ta main sur mon oreille. dis-moi. la nuit on lit des livres sous les grands draps. parfois je m’arrête et j’écoute la lecture intérieure des autres. tous ces mots qui attendent d’être dits dans toutes ces têtes au même endroit et au meme moment. j’y vois la fuite de quelqu’un qui a peur, le coeur et l’âme en peine, les montagnes pour atteindre des sommets et se faire prendre par le vent, une femme dans son salon qui regarde par la fenêtre une jeune fille et un enfant. j’ai tout lu de ces livres dans le silence du monde.

8 octobre 2018

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 19:13

2

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 19:00

la nuit on installe des grands lits dans la pièce principale pour former un dortoir pour tous. c’est idéal. c’est là qu’on se sent le mieux, comme à l’abri  de la voix terriblement silencieuse qui maraude dehors. ce soir là ils ont soufflés dans de longs tubes en bois. c’était joli. des monstres qui veulent s’échapper, le tourment intérieur qui se tortille et vient chanter des mots dissonants. je m’allonge au sol pour me fondre à cette vibration. je me fond à un souffle. au siens. le language du souffle ressemble au langage des yeux mais il pince moins au coeur. il caresse la joue.

1

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 18:34

7 octobre 2018

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 14:47

 

 

 

 

 

virgin suicide

étreinte dans l’astral

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 14:31

dans le rêve on se retrouve et ça dure toujours.

Newer Posts »« Older Posts

Powered by WordPress