Errances

6 octobre 2018

errance avec sara

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 16:03

chouette

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 00:07

5 octobre 2018

23:59 j’ai eu super chaud!!!!

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 23:59

4 octobre 2018

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 18:15

3 octobre 2018

a letter to the cassette traveler

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 21:32

it’s like i want to explose in a way. i think i really need this movement in my life. i need to run. i need to talk. i need to scream. i need to see. i need to be seen. i need to be a part of all of this beautiful vibration that i can feel sometimes. i will not say only sometimes because it’s everytimes. but sometimes it’s lower and i miss it. it’s like it doesn’t exist anymore but deep in me, i know it’s there and now i can feel it in my stomach. it’s really big. it make me want to scream, and dance, and laugh. meet people, meet people that i will never see again. maybe or maybe not. i just wrote a letter to him and at the end it say: hope to meet you really soon in this messy, sometimes shitty, and sometimes beautiful, world. that’s what i feel now. i feel that’s what i need. moving. always moving. till the end or something.

carambolage

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 18:11

2 octobre 2018

fuzzy

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 23:08

je dois penser à une histoire à raconter. ou bien a des images à mettre sur une histoire. c’est long une histoire. ça fuit une image. la fuite de l’histoire. une histoire de fuite. une fuite d’image et une image qui fuit. une histoire qui fuit. une histoire d’image. l’image d’une fuite (floue).

i wish shit would stop spinning

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 22:58

j’ai envoyé le message en premier, pour m’excuser d’avoir eu l’air ennuyée

le matin mes oreilles sont fugaces et j’ai peur du bruit

pour la nuit je décolle mes yeux et je regarde dedans

il m’envoie une photo de lui petit

l’album « i wish shit would stop spinning »

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 22:48

la houle  

1 octobre 2018

« La mort du jeune aviateur anglais »

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 19:01
un inconnu c’est quelqu’un
n’importe qui c’est la mort
personne n’est mort là dedans
heilliger oft
tote auf den starßsen
je ne peux pas l’écrire, peut être que je ne veux pas l’écrire
le soleil crevé dans les arbres
die jungen das grabs
pourquoi un film de ça, qui est presque rien?
l’écriture là dedans est inaccessible
arriver quelque part avec cette émotion
écrire par le dehors
peut-être que si j’avais été là j’aurai écrit
dieu remplacé
la guerre est enfermé dans la tombe
s’il n’y avait pas des choses comme ça, l’écriture n’aurait pas lieu.
 
(d’après Marguerite Duras)

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 01:21

 

le rêve d’alice

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 00:59

29 septembre 2018

TRAUM

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 16:11

freitagabend. 

28 septembre 2018

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 14:22

27 septembre 2018

anyway

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 23:09

comment puis-je te haïr plus que quand tu es beau, que tu à l’air de rire sous ta chemise à fleurs, que je n’aime pas du tout, ni tes cheveux ni tes yeux noirs tristes (ils ont l’air toujours trahi tes yeux), et je n’aime pas non plus tes nouveaux vêtements qui ne te vont pas, et ton tatouage sur le bras gauche symétrique à mon tatouage sur mon bras gauche.

je n’aime plus rien, et surtout je n’aime plus tes mots.

 

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 20:26

die freie welt/

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 20:21

ce soir là chez N, j’entre un nouveau monde fait de déchirures, de cris, de danse, d’un soi multiplié sur les autres, d’un soi profond qui dit « enfin », de liberté.

merci berlin,
merci l’été
merci la nuit
de m’y avoir conduite.
vers eux,
vers moi.

26 septembre 2018

0

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 20:37

Il a détaché ses grands cheveux dans la nuit et il a joué du violon trop bourré. J’ai pensé que ce n’était plus lui et son ivresse mais d’un coup une mélodie. Je lui tape l’épaule, « je m’en vais il fait froid », « tu viendras nous voir dans la maison aux grandes fenêtres! ».

début du carnet rouge, début d’errance

Filed under: méandres — Étiquettes : — errant @ 20:00

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