16 juin 2018
2 mai 2018
11 avril 2018
27 mars 2018
le mépris
J’ai toujours été étonné qu’on laissât les femmes entrer dans les églises.Quelle conversation peuvent-elles avoir avec Dieu ? Baudelaire, Journaux intimes
Vénus, fille du ciel
détournez vous de sa beauté, comme si elle venait de satan
L’éternelle Vénus (caprice, hystérie, fantaisie) est une des formes séduisantes du diable Baudelaire, Journaux intimes
Jean-Paul Gaultier, Les vierges, 2007
26 mars 2018
25 mars 2018
l’omo sapiens
les hommes et les femmes sont en compétition pour l'immortalité mais les hommes brillent et nous éclaboussent nos robes sont tachées
24 mars 2018
15 mars 2018
14 mars 2018
13 mars 2018
la mode est une société de cour, où il s'agit d'être proche du roi, de la divinité Giulia Mensitieri
12 mars 2018
10 mars 2018
8 mars 2018
RIEN, synonymes
je suis le néant, l'absence, la négation, l'inattention, l'oubli, la futilité, l'insignifiance, la satiété
6 mars 2018
anti-amour
Ce n’est pas que je n’aime pas l’amour, c’est que je révulse le toujours qu’il impose.
je sais que nous sommes deux personnes et qu'après tout nous pourrions être ensemble mais pour combien de temps ? si nous sommes deux personnes comme les autres, quelle sera la durée de notre amour ? il n'y a pas d'amour éternel, même dans les livres, il n'y en a pas. donc s'aimer, c'est s'aimer pour un certain temps il n'y aura pas de miracle pour nous. nous ne sommes pas plus forts que les autres
26 février 2018
25 février 2018
21 février 2018
détresse amoureuse
je suis juste fou d'amour c'est complètement con c'est complètement con ? oui c'est complètement con
au bout de deux jours, oui, ça l'est totalement
20 février 2018
anamour #13
L’anamour devient un sentiment dont la puissance esquinte mais qu’il faudra surmonter
L’anamour rime avec jamais, plus qu’il ne s’accorde avec toujours
Le 13ème est bien trop apprêté. Et puis, son prénom, tellement cliché, me fait douter de sa sincérité.
18 février 2018
je préfère Musset à Johnny
Ainsi, quand la fleur printanière Dans les bois va s'épanouir, Au premier souffle du zéphyr Elle sourit avec mystère ; Et sa tige fraîche et légère, Sentant son calice s'ouvrir, Jusque dans le sein de la terre Frémit de joie et de désir. Ainsi, quand ma douce Marie Entr'ouvre sa lèvre chérie, Et lève, en chantant, ses yeux bleus, Dans l'harmonie et la lumière Son âme semble tout entière Monter en tremblant vers les cieux Musset