CONSEIL DE SURVIE ERRANCE
Ne JAMAIS au grand JAMAIS donner une clope a Thierry, c’est un peu comme les gremlins, si tu commence t’es foutu. Comme ça il est trop mignon, mais si il clope après minuit COURS, vite et loin.
(Bisou Thierry <3)
Ne JAMAIS au grand JAMAIS donner une clope a Thierry, c’est un peu comme les gremlins, si tu commence t’es foutu. Comme ça il est trop mignon, mais si il clope après minuit COURS, vite et loin.
(Bisou Thierry <3)
Le plus dur avec la distance c’est que je peux te casser les couilles impunément, je suis obliger d’écrire mes vannes et je peux même plus sucer ton majeur quand tu me fais un doigt… triste vie
c’est compliqué de plus avoir personne a qui tendre son doigt quand je veux péter, morne vie snif snif ouin ouin
Sur la couleur de la nuit dans le lac,
s’étend l’ombre de mon sac.
Il n’est de plus lancinant moment
que celui de plonger dans le rejet du temps.
Il m’aura fallu la sueur et les larmes,
l’envie de sel, sentir mes armes.
Les cris, la douleur.
Des explosions et leurs chaleurs.
Il aura fallu le temps et le silence,
l’oublie et l’inconscience,
les dents qui hurlent, rouge.
Sentir tout exploser alors que rien ne bouge
Il aura fallu te perdre toi,
et avec les cristaux de moi.
Donner la vibration de mes jaunes organes,
à des victimes aux yeux parme.
La violence ne fait pas de bruit.
Le mal n’a pas de couleur.
La mort a planté des fruits
qui s’imposent dans mon intérieur.
Écarter les lignes courbes de mon torse.
Plonger arracher la bestiole qui siffle
lui arracher la tête avec force.
Comprendre quelle ne peux mourrir quand je la renifle.
C’est un paysage qui se dessine,
Des montagnes aigües, des lac noirs.
Des arbres tordus et mauve en leurs cimes.
Un rictus biologique en moi le soir.
C’est une fracture dans le temps
que la mort d’un parent.
J’aurais du mettre dans mon dossier pour l’ENSCI que j’adore le bondage, sa aurait pu être drôle.
Je te désire quand je ne te vois pas ;
le rappel de l’été sous mes doigts.
Sur le murmure de ton souffle,
un jour, tu verras mes poèmes en esbroufe.
Dans mes yeux, tu es aussi femme que la nuit,
celle de l’été, celle des vapeurs.
Rappel de ta main, et moi qui te suis
pour m’oublier quelques heures.
De grains de sables perditions,
je ne garderais que ton nom.
De l’été abîmée,
nos lèvres liées.
Et tes taches qui ondulent
et la fraîcheur qui brûle.
Ma bouche qui mord ta peau ;
envie de t’emmener au bord de l’eau.
La légèreté de me glisser chez toi comme un voleur,
et ce mot qui me suit, la promesse de te revoir,
et le lézard guette, attend son heure
comme moi, qu’avec toi, tombe le soir.
NON SÉRIEUSEMENT FINI DE JOUER LÀ JE VEUX VRAIMENT RÉCUPÉRER MES 17 ANS!!!
J’EN AI BESOIN
OK c’est pas compliqué, je veux retourner sur mes 17 ans. Je refuse d’avoir la pression des concours, je veux dénigrer le goût du risque, arrêter de cogiter, la revoir et qu’on s’engueule, prendre ma planche de skate et rouler comme un barge, draguer des nanas juste pour le kiff que ca soit léger et sans prise de tête. Bref je veux redevenir un branleur, fumer des joints, boire du Rhum en cours et dire merde aux profs, être content d’avoir 4 en math et vomir en soirée. Regarder Skins et gagner encore une fois la liste de Effy. Écrire des lettres d’amour et y croire, prendre mes parents pour des vieux cons et penser avoir raison, me trouver styler avec des trucs de merde, fumer des joints (encore) draguer des meufs (toujours) et me sentir petit garçon quand elles me disent je t’aime. Trouver des arguments pour rassuré mes potes et me sentir à nouveaux concerné par les problémes des autres.
NIK
NIK
DOUBLE NIK
En y repensant, je me souviens de cette histoire, la pilule pour homme existe, mais n’est pas en vente car elle ne marcherait pas, les hommes ne la prendrait pas. « trop d’effet secondaire » les pauvres choux.
C’est vraiment une vaste blague, blasant.
Il ne me lâche pas, depuis que je suis rentré il est la, mou et vif, pesant et incarnant le flegme.
Powered by WordPress