Réflexion
Aujourd’hui je me suis dit qu’il existait une multitude de personnes atypiques mais que cela ne se voyait pas forcément car ce qui les rend atypique est peut-être caché dans leurs chaussures !
Aujourd’hui je me suis dit qu’il existait une multitude de personnes atypiques mais que cela ne se voyait pas forcément car ce qui les rend atypique est peut-être caché dans leurs chaussures !
J’ai envie de mourir quand je vois tout ce que j’ai à faire – tout ce qu’il me reste à faire.
Ce qu’il reste à faire ne restera pas.
Pour mon anniversaire, je voudrais du temps. Achetez-moi du temps s’il vous plaît…
J’ai toujours été étonné qu’on laissât les femmes entrer dans les églises.Quelle conversation peuvent-elles avoir avec Dieu ? Baudelaire, Journaux intimes
détournez vous de sa beauté, comme si elle venait de satan
L’éternelle Vénus (caprice, hystérie, fantaisie) est une des formes séduisantes du diable Baudelaire, Journaux intimes
Jean-Paul Gaultier, Les vierges, 2007
C’est l’heure d’été
L’heure de remettre toute les pendules, avec un petit tour de plus …
les hommes et les femmes sont en compétition pour l'immortalité mais les hommes brillent et nous éclaboussent nos robes sont tachées
la mode est une société de cour, où il s'agit d'être proche du roi, de la divinité Giulia Mensitieri
« Pareil monde nous tient à coeur, mémoire olfactive, mémoire des lieux d’enfance, mémoire du corps, des gestes de l’enfance, des plaisirs. «
« C’est ce qui nous est donné chaque jour (ou nous vient en partage), ce qui nous presse chaque jour, et même nous opprime, car il y a une oppression du présent. Chaque matin, ce que nous reprenons en charge, au réveil, c’est le poids de la vie, la difficulté de vivre, ou de vivre dans telle et telle condition, avec telle fatigue, tel désir. Le quotidien c’est ce qui nous tient intimement, de l’intérieur. »
« Il a réglé ses journées de telle sorte qu’elles sont un enchainement harmonieux de petites joies et la moindre de ces petites joies qui vient à manquer menace l’édifice. Une tasse de café et une tartine, un plat de petits pois vert clair, la lecture du journal au coin du feu, une servante qui, sur un escabeau, lave une vitrine à grand eau, mille satisfactions paisibles qui l’attendent à chaque tournant de la vie »
Michel de Certeau, Lucie Giard, Pierre Mayol, L’invention du quotidien 2. Habiter, cuisiner
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